(1906 – O 1966 – 1982). Indianiste.
À la fois docteur en médecine (1930) et en lettres (1946), Jean Filliozat fut, par l’étendue de ses savoirs et la prolixité de ses publications, l’une des grandes figures de l’indianisme en France. Historien, paléographe et épigraphiste, il possédait toutes les compétences pour s’imposer comme le spécialiste incontesté de la civilisation indienne. Études bouddhiques, philosophie, ethnologie, histoire des sciences, médecine, linguistique, toutes disciplines, si souvent étrangères, étaient siennes, au service de ses recherches sur l’Inde. De ce savant « total », au sens où il sut allier l’esprit de l’encyclopédiste à la rigueur de la démarche du spécialiste, on retiendra outre son Étude de démonologie indienne (1937), son ouvrage intitulé Inde classique. Manuel pour les études indiennes (1947-1953) et La doctrine classique de la médecine indienne. Ses origines et ses parallèles grecs (1949).
À la fois docteur en médecine (1930) et en lettres (1946), Jean Filliozat fut, par l’étendue de ses savoirs et la prolixité de ses publications, l’une des grandes figures de l’indianisme en France. Historien, paléographe et épigraphiste, il possédait toutes les compétences pour s’imposer comme le spécialiste incontesté de la civilisation indienne. Études bouddhiques, philosophie, ethnologie, histoire des sciences, médecine, linguistique, toutes disciplines, si souvent étrangères, étaient siennes, au service de ses recherches sur l’Inde. De ce savant « total », au sens où il sut allier l’esprit de l’encyclopédiste à la rigueur de la démarche du spécialiste, on retiendra outre son Étude de démonologie indienne (1937), son ouvrage intitulé Inde classique. Manuel pour les études indiennes (1947-1953) et La doctrine classique de la médecine indienne. Ses origines et ses parallèles grecs (1949).